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le néonomadisme, le nomadisme touareg

22 mai 2013

Le néo-nomadisme permet parfois la réalisation de

Le néo-nomadisme permet parfois la réalisation de villes durables

Quelle est la necessité de changer d’outil numérique à chaque promesse de pérformance  plus importante ? Cette recherche de capacité augmentée et de satisfaction individuelle est d’autant plus dérisoire que l’on sait l’impact environnemental qui résulte de la course à la consommation.

Au système PIGS, il faudrait ajouter la nature. Le néo nomadisme triomphant est un système PINGS interdépendant et organique. Il rejoint le nomadisme traditionnel en cela qu’il est structuré est tributaire des aléas du contexte. Il dépasse le nomadisme traditionnel en cela que la production de PIGS et leur transport a un ipact positif sur la planète. Les mobilités accentuent le coté marchand du nomade et dessinent des géographies parallèles, celles, par exemples, des déchets électroniques et électriques. Quand certains utilisent un téléphone portable par an, d’autres en subissent les pollutions irrémédiables sur leur environnement. On abandonne des espaces vacants sans en maximiser l’usage. La mobilité crée la transformation et donc aussi à la fois l’abandon et l’enrichissement. Le design et les technologies liées aux mobilitées qui sont développées aujourd’hui sont essentiellement destinées à apporter du réconfort à l’individu en mouvement. Mais peu finalement s’adressent à la monopolisation des ressources.

De qu’elles manières les concepteurs peuvent-ils contribués à satisfaire les besoins de mobilités sans pour autant s’engager dans la production de stress et de gaspillage ?

L’architecture des nomades traditionnel est entièrement biodégradable puisqu’elle est construite en matériaux naturels. Les bomas, par exemple, ensemble d’habitats de la tribu Massai, nomades d’Afrique de l’Est , sont construit d’un mélange de cendres, d’excréments d'animaux et de terre par-dessus une ossature en bois. Si les Massai décident de s’installer ailleurs, c’est généralement parce qu’ils sont à la recherche de meilleurs pâturages pour leurs bétail, l’hypothèse que des espaces abandonnés par les uns peuvent être habités par les autres annonce l’idée de partage de ressources, tant des matériaux que des objets et des espaces. De façon paradoxale les néo nomades peuvent etre économe, c’est le cas lorsque l’on doit se déplacer pour un voyage professionnel et que l’on en profite pour y caler des rencontres avec des amis. Si le néo-nomade reste plus longtemps sur place, il en profitera pour faire un peu de tourisme, ou pour rencontrer d’autres personnes (professionnels ou affectives). Il arrive même de se voir offrir l’hébergement par une connaissance Twitter, pourtant jamais rencontrée auparavant, avec qui des tweets on été échangés.

L’usage parcimonieux des ressources, l’optimisation du temps, des matériaux de construction, des espaces, l’emploi de matériaux de construction biodégradables, et le partage des ressources, voici les idées qui se dégagent en matière de production des espaces et de mobilité durable.

 

 

 

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17 mai 2013

Les mobilités modifient les objets et les espaces

Les mobilités modifient les objets et les espaces

L

es mobilités physique, numériques, et mentales ont transformé les individus  néo nomades à l’adhérence précaire, en individus AOMC ( appelation d’origine mobile contrôlée) à la fonction bio politique imprévisible. Avec la mobilité, la forme des choses doit s’adapter pour des raisons pratiques : elles s’arrondissent, les limites/frontières deviennent plus floues, et la production de la ville par ses éspaces et sa gouvernance peuvent être aliénant, les concépteurs répondent par la création d’objets et d’éspaces sensibles, mémoriels et relationnels.

 

 

En réponse aux desoins de portabilité et de flexibilité, les concepteurs ont crée des objets et espaces qui peuvent être démontés, transportés, combinés, emportés. C’est dans cet ordre que Vitra, le producteur de meubles contemporains, avait organisé l’exposition itinérante  d’une gamme de mobilier. L légéreté permet l’économie sur la quantité de matériaux de construction utilisé, et donc sur le prix de fabrication des objetx et éspaces.

Les architectes ont construits des espaces polyvalents, des bâtiments aux programmes souples, des architectures et structures transformables, réactive et interactives, adaptables et paramétrables. On donnera pour exemples la façade sud de l’Institut du Monde Arabe à Paris par Jean Nouvel, dotée de diaphragmes dont l’ouverture varie selon l’ensoleillement.

On prêtera attention à la Kunsthaus (centre culturel) de Graz en Autriche (comme ci-dessus), crée en 2003 par Peter Cook , dont la façade en plexiglas dans laquelle est intégrée une matrice de 930 lampes fluorescentes qui sert d’écran géant pour un programme artistique à fleur de peau. Avec le numérique, c’est de peau que les concepteurs s’entichent. Les nanotechnologies pourraient bien révolutionnées la façon dont les espaces s’adaptent à nos besoins. La mobilité numérique accentue la déliaison et l’affranchissement de toute logique de constuction, elle a des conséquences majeurs sur l’usages que l’on fait des espaces. Elle est en partie résponsable de la perte de définition des espaces de la ville, en ce servant de son télephone portable pour des transactions, de son ordinatuer pour acceuillir son banquier dans son salon etc.. La mobilité numérique brouille donc les définitions spatiales.

Notre « vie sur un écran » nous absorbe, crée des besoins d’attention constants, nous déconnecte du monde physique. On en délaisse nos espaces. Si l’on est partout ailleurs, peut-on être ici dans le réel ? Ll’espace de la ville importe- t-il donc ? On laisse la voie ouverte aux producteurs de junkspaces et de spamspaces. Nos pratiques en ligne, par exemple l’achat par internet, ont des conséquences sur la ville comme la création de meta-architecture de stockage, une infrastructure routière adaptées à des flux plus importants et des besoins énergetiques plus grands.

 

17 mai 2013

Les nouvelles technologies: ou comment se

Les nouvelles technologies: ou comment se combiner merveilleusement à une nouvelle mobilité?

 

LA MOBILITE A MODIFIE GENETIQUEMENT LA VILLE

 

Le néo-nomadisme, cette mobilité en trois dimensions (physique, numérique et mentale) semble pourtant générer des pratiques humaines et des conditions urbaines très fluides, qui mettent en évidence les désavantages ou déficiences d'un système technologique, et qui sont justement à l'opposé de la planification. Car on vit dans un monde à la précarité exacerbée, où rien n'est plus certain.

Les technologies numériques omniprésentes qui incitent à plus de mobilité, et dont on pense  qu'elles ne modifient que légèrement la ville puisqu'elles sont « inVisibles », ont un impact profond sur le tissu urbain.

L'architecte Paul Virilio décrit dans son interview « Quand les architectes n'ont paspeur du vide »  les trois « V », le Vide, la Vitesse, et le Vif (la vivacité des individus) qui caractérisent l'architecture d'aujourd'hui et le rapport des individus à l'espace. Il faudrait ajouter tout ce qui ne se Voit pas car la ville des mobilités à l'enveloppe rigide se déforme, se fragmente : des programmes disparaissent, et lorsque certains apparaissent temporairement comme les cyber-cafés, d'autres s'installent dans la durée, toujours plus énormes, comme les espaces de stockage de serveurs.

 

17 mai 2013

Adaptation, espace temps

Une fantastique adaptation aux espaces de vies

Le territoire de nombre de nomades existe bien, quoique sans appareil étatique- et se développe de manière fluide. Leur territoire est un « espace vécu ».L’espace vécu est un espace social, un espace temps et un espace mouvement.

Perec dans son livre Espèces d’espaces, nous donne un indice quand il se demande : « Pourquoi ne pas privilégier la dispersion ? ».Au lieu de vivre dans un lieu unique, pourquoi n’aurait-on pas, dans Paris, cinq ou six chambres éparpillées.

Parce qu’ils y pratiquent fréquement la mobilité, les néo-nomades développent des relations curieuses qui font apparaîtrent des fonctionnalités (plug-in) aux choses matérielles et aux espaces de la ville. L’appropriation spatiale selon les besoins individuels allié à l’économie d’éspace et au partage de l’éspace permet de créer des villes- maisons. Le territoire néo-nomade évolu en fonction des activitées de ceux-ci- à la demande. Le café du coin devient un bureau temporaire ou une salle de conférence provisoire.

La mobilitée et le numérique ont donc complétement changé la donne , de nouvelles typologies voient le jour, comme les cyber-cafés.

Le territoire des neonomades est tout aussi dynamique, dispérsé, multiples et fou que leur identité. Habiter la ville veut dire assembler les territoires à la demande et, surtout les mettre en scène.

Il y a dans cette mise en scène du territoire néo nomade une dimension ludique qui n’est pas sans intérêt puisqu’elle règle temporairement et rapidement la question du vide spirituel. C’est comme si les néo-nomades insufflaient aux espaces dans lesquels ils transitent du cosmique à la demande.

Les néonomades assembles leurs espaces personnels à la demande, et mettent en scène aussi bien la carte que le territoire. Ces pratiquent néo-nomades ont un fort potentiel créatif. Mais elles contrastent avec l’architecture des villes dont les espaces se transforment, poussent à d’avantages de mobilité, deviennent plus flous et aliénants, alors que la technologie se fait omniprésente. Ces pratiquent néo-nomades sont aussi utilisées à des fins mercantiles qui vont a l’encontre de l’intérêt général pour une ville durable.

 

 

 

7 mai 2013

Les nouvelles technologies: ou comment se

Les nouvelles technologies: ou comment se combiner merveilleusement à une nouvelle mobilité?

 

 

LA MOBILITE A MODIFIE GENETIQUEMENT LA VILLE

 

Le néo-nomadisme, cette mobilité en trois dimensions (physique, numérique et mentale) semble pourtant générer des pratiques humaines et des conditions urbaines très fluides, qui mettent en évidence les désavantages ou déficiences d'un système technologique, et qui sont justement à l'opposé de la planification. Car on vit dans un monde à la précarité exacerbée, où rien n'est plus certain.

Les technologies numériques omniprésentes qui incitent à plus de mobilité, et dont on pense  qu'elles ne modifient que légèrement la ville puisqu'elles sont « inVisibles », ont un impact profond sur le tissu urbain.

L'architecte Paul Virilio décrit dans son interview « Quand les architectes n'ont pas peur du vide »  les trois « V », le Vide, la Vitesse, et le Vif (la vivacité des individus) qui caractérisent l'architecture d'aujourd'hui et le rapport des individus à l'espace. Il faudrait ajouter tout ce qui ne se Voit pas car la ville des mobilités à l'enveloppe rigide se déforme, se fragmente : des programmes disparaissent, et lorsque certains apparaissent temporairement comme les cyber-cafés, d'autres s'installent dans la durée, toujours plus énormes, comme les espaces de stockage de serveurs.

 

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2 avril 2013

Edito

 

Le neonomadisme

problématique: Quelle est l'influence de nos modes de vie sur notre environnement?

Mon blog comprendra différents articles en lien avec son intitulé. Une partie consacrée aux anciennes peuplades nomade, tel que les touaregs, peuple nomades de génération en génération, héritier d'un mode de vie itinérant depuis des millénaires, et d'une seconde partie consacrée au phénomène appellé le néonomadisme, qui peut se définir comme étant un phénomène moderne de néomobilité,  conséquent à une société qui pousse de manière involontaire les Hommes à ce déplacer dans des envirronement plus ou moins éloignés les uns des autres, et cela plus ou moins fréquement dans leur vie.

Entre ces deux différentes thématiques, j'établierai un lien en vue d'expliquer le changement qui peut opérer dans le paysage artificiel et naturel de notre envirronement en fonction de nos mode de vie. Je trouve intéressant de parler de ces deux thème qui sont le neonomadisme et les peuple itinérants car ce sont deux phénomènes totalement opposés dans la forme, mais qui ont les même conséquences sur leurs milieu respectif. 

 

 

26 mars 2013

neo nomadisme: un bénéfice

article_neonomadisme1 

 

Le néonomadisme, un phénomène bénéfique.

 

 

Le néo-nomadisme n'est que la conséquence de la logique du franchissement à celle de l'éloignement.

Le déplacement est nié en tant que tel, mais conçu comme prolongement de l'habiter, nous sommes chez nous même sur la route, c'est également un eloignement ressenti.

-Joseph Morsel-

 

 ROUTE_LUMIERE

 

 

Les facettes du néonomadisme:

Le mot « transport » exprime des changements de position. Il désigne aussi bien le déplacement d'un lieu à un autre qu'une vive émotion. Le préfixe « trans » signifie « au-delà », « à travers », « entre ». Le néonomadisme exprime, lui, une transition qui peut être culturelle ou correspondre à un passage de limites-

Ce néonomadisme implique des transgressions visant à dépasser les certitudes établies. Tous déplacements dans l'espace et le temps a un impact sur l'identité et donc implique de l'anticonformisme.

Le néonomadisme peut être considéré comme une condition, c'est en quelque sorte un état post-moderne qui a plus de portés et d'importance qu'on ne le croît actuellement, effectivement l'attachement aux lieus, faiblit. D'ailleurs les espaces urbains s'adaptent à l'avènement de cette nouvelle éspèce de nomade.

La condition néo-nomade est une métamorphose, une situation dynamique qui signifie à la fois l'abandon et l'enrichissement, elle implique de pérpétuelles négociations pour adoucir le stress de la tansition,il implique des recentrements du soi.

Le mouvement néo nomade participe à faire évoluer une société en pérpétuelle recherche de plus de libértée, apprivoisement des villes envers cette néo mobilité va donc aller dans le sens de cette demande de facilité d'accès à la libérté de mouvement.

Ce phénomène est donc un apport pour l'évolution des consciences, car il demande une plus grande ouverture de la part des instances publiques.

14 mars 2013

Le peuple touareg, une faculté d'adaptation caméléonesque

 

Ce peuple nomade appelé les touareg ce déplace dans une zone d'Afrique centrale et Afrique du nord plus ou moins bien défini. Les pays concernés par les déplacement de ces populations sont principalement le Mali, l'Algérie, le Niger, Burkina Faso. Ils sont considérés comme habitants du Sahara, parle une langue berbère, le tamajaq et sont les descendants des premiers habitants de l'Afrique du nord.

 

 TOUAREG

L'Homme n'est pas adapté au desert: abandonné sans eau par une chaleur de 50° C, il mourra au bout d’une journée ou deux. Pourtant, le sahara est peuplé de ces mêmes nomades, le touareg porte plusieurs couches de robes qui isolent contre la chaleur. Ils peuvent être appelés des pasteurs nomades, en effet, leurs marches constantes dans le desert est dictée par le besoin de trouver de nouveaux pâturages pour les troupeaux d'animaux domestiques.

Ils vont d'oasis en oasis pour permettre aux troupeaux de s'y abreuver. Dromadaires, moutons et chèvres forment la plus grande partie du cheptel.Certaines peuplades se nourrissent presque entièrement du lait fourni par leurs animaux mais d’autres ne mangent que de la viande.

Le commerce caravanier saharien du sel, pratiqué par les Touaregs, est encore important, car l'Afrique occidentale manque de sel; or, les besoins en sel de tout être vivant en pays chaud sont considérables. C'est ainsi qu'au printemps et à l'automne, de grandes caravanes appelées azalaï (rassemblement de chameaux) se rendent aux salines du Sahara central pour échanger le mil contre le sel. Les routes des caravanes suivent généralement la distance la plus courte reliant les oasis ou les points d’eau, cela implique une connaissance empirique du ciel et donc des mouvement tellurique. Ce savoir est transmis de génération en génération dans le but de léguer un héritage ancestrale qui doit se perpétuer.

 

Là où existe une réserve d’eau appropriée, le désert peut se révéler extrêmement fertile. Bien des oasis sont entourées de jardins luxuriants fournissant une large gamme de récoltes pour une population humaine fixe. Dans les déserts d’Iran et d'Oman, les indigènes ont trouvé une méthode ingénieuse pour amener un supplément d'eau des montagnes vers leurs jardins du désert. Ailleurs dans le monde, on creuse en général un canal pour détourner l'eau vers un endroit précis. Mais dans le désert, ces canaux n'ont qu’une utilité relative en raison du taux d'évaporation élevé. Les habitants de ces déserts ont résolu le problème en construisant un tunnel souterrain, nommé qanat, pouvant atteindre 20 kilomètres de long.

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